L’énigme de Carnavalet

330,00

Visite énigme au musée Carnavalet

Trouvez l’antidote au poison mortel ! Le défi est lancé. Vous avez 2 heures pour dérouler cette visite énigme et parcourir 2 000 ans d’histoire parisienne ! Un exploit incroyable à réaliser en redécouvrant les richissimes collections de ce musée prestigieux, tout nouvellement restauré abrité par l’hôtel de Carnavalet et l’hôtel Le Peletier de Saint Fargeau.

Votre sens de l’observation vous sera indispensable pour récolter les indices et répondre aux questions de cette enquête en parcourant les appartements prestigieux de ce musée historique où s’exposent objets, maquettes et tableaux retraçant l’histoire de la capitale de la Préhistoire à nos jours.

Mais attention ! Un grave danger menace votre réussite ! Saurez-vous le déjouer à temps ?

  • Durée de la visite énigme : 2 heures
  • Tout public
  • Nombre de participants : de 2 à 1é personnes
  • Date et horaire (à votre convenance) : contactez-nous
  • Prix : 310,00 €
  • Droit de réservation Groupe (demandé par le Musée) : 20,00 €
Catégorie :

Description

Visite énigme le musée Carnavalet – Trouvez l’antidote au poison mortel !

Le défi est lancé. Vous avez 2 heures pour dérouler cette visite énigme et parcourir 2 000 ans d’histoire parisienne ! Un exploit incroyable à réaliser en redécouvrant les richissimes collections de ce musée prestigieux, tout nouvellement restauré abrité par l’hôtel de Carnavalet et l’hôtel Le Peletier de Saint Fargeau.

Votre sens de l’observation vous sera indispensable pour récolter les indices et répondre aux questions de cette enquête en parcourant les appartements prestigieux de ce musée historique où s’exposent objets, maquettes et tableaux retraçant l’histoire de la capitale de la Préhistoire à nos jours.

Mais attention ! Un grave danger menace votre réussite ! Saurez-vous le déjouer à temps ?

DUREE DE LA VISITE ÉNIGME

  • 2 heures

PUBLIC

  • Tout public, en petit groupe

POINTS FORTS

  • Les prestigieux décors et l’architecture magnifiée d’un hôtel particulier au cœur du quartier du Marais
  • Un espace et une médiation adaptés au jeune public
  • Le challenge et l’esprit d’équipe

POUR EN SAVOIR PLUS

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À PROPOS DU MUSÉE CARNAVALET

Voyagez dans le temps à travers les œuvres incontournables de la collection et ses nouveaux dispositifs multimédia. De Lutèce au Paris contemporain, en passant par la ville des Lumières et de la Révolution, cette visite vous permettra de parcourir l’histoire de la Capitale à travers ses objets d’arts, son mobilier d’époque, ses maquettes et plein d’autres documents exceptionnels.

Pirogue monoxyle en chêne

Cette pirogue préhistorique, taillée dans un seul morceau de bois, est conservée sur de plus de 5 mètres. Elle a été retrouvée sur la berge d’un bras fossile de la Seine, à proximité d’un groupe d’habitations néolithiques. Au total, une dizaine de bateaux ont été mis au jour sur la fouille archéologique de Bercy, 1991-1992, ce qui constitue l’ensemble d’embarcations préhistoriques les mieux conservées en Europe.

Fauteuil mortuaire de Voltaire

Bien que Voltaire ne soit pas mort dans ce fauteuil comme le voudrait la légende, il n’en est pas moins spécialement conçu pour le célèbre philosophe à l’occasion de son dernier séjour parisien. Arrivé de Ferney à Paris le 5 février 1778, Voltaire est accueilli par le marquis de Villette, ami et disciple convaincu.

Lambris de l’hôtel Colbert de Villacerf

Au 17e siècle, les hôtels parisiens d’une certaine importance ont leurs principaux appartements lambrissés – c’est-à-dire recouverts de boiseries murales. Les boiseries du cabinet de l’hôtel Colbert de Villacerf, bâti vers 1650 rue de Turenne, non loin de la place des Vosges, ont été acquises en 1867 par la municipalité parisienne et remontées au musée vers 1913-1914. Rare décor complet du milieu du 17e siècle, ce cabinet constitue un exemple caractéristique des « lambris à la française ».

Portrait de Juliette Récamier

Icône, muse, commanditaire, modèle et collectionneuse, Juliette Récamier est une des femmes les plus représentées de son temps. Le couple qu’elle forme avec son époux, le banquier Jacques-Rose Récamier, s’installe dans le quartier de la Chaussée-d’Antin et aménage son hôtel particulier de la rue du Mont-Blanc, en convoquant les artistes les plus en vogue du moment. Elle y donne de nombreuses fêtes et tient un salon réputé qu’elle anime avec brio où se réunit tout ce que la capitale compte d’artistes et d’intellectuels. Juliette Récamier devient l’épicentre de la vie mondaine des premières décennies du 19e siècle.

Exigeante avec sa propre image, elle sollicite les maîtres les plus en vue pour sa représentation (David, Gérard, Chignard ou encore Canova). En 1801, elle commande ce portrait à François Gérard, très vite considéré comme l’un des chefs-d’œuvre du peintre. Il la montre sur un mode que les femmes les plus en vue de l’époque se disputent alors, en matière de portrait : assise sur un siège à l’antique, vêtue d’une robe blanche, à la mode du moment, dite « à la grecque » qui souligne le corps, et portant un châle de couleur vive.

 

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